Oração:
Ó Deus, Criador e Redentor de todos os fiéis, concedei às almas de vossos servos e de vossas servas,
a remissão de todos os pecados, a fim de que, pelas humildes orações da vossa Igreja, eles obtenham o perdão que sempre desejaram. É o que vos pedimos por elas, ó Jesus, que viveis e reinais por todos
os séculos.Amém
Abrirei meus lábios
Em tristes assuntosPara sufragar
Aos fiéis defuntos
Sede em meu favor,
Salvador do mundo,E das almas santas
Do lago profundo
Nós vos pedimos
Pronta salvaçãopreferindo aquelas
da nossa intenção
Para que por vós ,
JESUS, Sumo Bem,Elas já descansem
Para sempre. Amém
Por parte de Pai
Vovó Eugenia Lemos do Canto +
Vovô Eleutério Lopes do Canto +
Tia Eugênia Canto de Oliveira +
Tio Eleutério Tito Canto +
Pai Jose Tito do Canto +
Tia Gemina Yolanda Canto. +
Tia Noêmia Peres do Canto +
Vovô Eleutério Lopes do Canto +
Tia Eugênia Canto de Oliveira +
Tio Eleutério Tito Canto +
Pai Jose Tito do Canto +
Tia Gemina Yolanda Canto. +
Tia Noêmia Peres do Canto +
por parte de mãe:
Vovó Raimunda Nogueira Barroso +
Vovô Liberato Barroso +
Tio José Liberaato Barroso +
Tio Plácido Barroso +
Tio Eliseu Barroso +
Tio Pedro Barroso +
Tio Eliezer Barroso +
Tia Célia Barroso +
Tia Luzia Barroso +
Tia Estelita Barroso +
por meus padrinhos de batismo
Dr° José Galba de Araújo +
Lorena de Araújo +
Lorena de Araújo +
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1º Hino
Deus vos salve CRISTO
Em vossa paixão,
Redentor das almas
Dos filhos de Adão
Por tal benefício
Público e notorio,
Socorrei as almas
Lá do purgatório.
Não entreis com elas,
Senhor em juízo,
Para que não tenham
Total prejuízo.
Porque na preaença
Do crucificado,
Nenhum dos viventes
É justificado.
Pelo santo sacrifício
Da sagrada Missa,
Não useis com elas
Da vossa justíça
Vós sois o cordeiro
Todo ensangüentado,
Para o bem das almas
Tão sacrificado.
Supra o vosso sangue,
Precioso e santo
O dever das almas
Que padecem tanto
Peçamos á DEUS
A eterna luz,
Para os que já dormem
Em Cristo Jesus.
Ouví meu bom DEUS,
O deprecatório.
Em favor das almas
Lá no purgatório
Pai Nosso......Ave Maria....
O santo de hoje nasceu no século XVII, e muito cedo descobriu seu chamado a uma consagração total. Pensou na vida sacerdotal, mas percebeu que muitos buscavam o sacerdócio somente para obter honras e dignidades.
João José discerniu melhor, e descobriu que Deus o queria um religioso. Assim, partiu para a vida eremítica, segundo a Ordem de São Pedro de Alcântara. Ele viveu uma vida de oração profunda, se alimentando e dormindo somente o necessário.
Recebendo a confiança de seus superiores, foi enviado para Piemonte, em Ávila, para começar um novo mosteiro. E de maneira braçal, iniciou a construção. Com sua perseverança, a Providência Divina e a ajuda do povo, construiu o mosteiro.
Recebeu de Deus o dom dos milagres, e muitos o buscavam. João José da Cruz sempre apresentava o Senhor Jesus e levava o povo à oração.
São João José da Cruz, rogai por nós!
XVI DÉCEMBRE. SAINT EUSÈBE, ÉVÊQUE DE VERCEIL ET MARTYR
Aux glorieux noms des défenseurs
de la divinité du Verbe dont l'Eglise honore la mémoire au temps de l'Avent,
vient s'associer de lui-même le nom de l'intrépide Eusèbe de Verceil. La foi
catholique, ébranlée dans ses fondements au IV° siècle par l'hérésie arienne, se
maintint debout par les travaux de quatre souverains Pontifes : Silvestre, qui
confirma le Concile de Nicée ; Jules, qui fut l'appui de saint Athanase ;
Libère, dont la foi ne défaillit pas, et qui, rendu à la liberté, confondit les
Ariens; et Damase, qui acheva de ruiner leurs espérances. L'un de ces quatre
Pontifes brille sur le Cycle, au temps de l'Avent : c'est Damase, dont nous
venons de célébrer la mémoire. A côté des Pontifes romains, combattent pour la
divinité du Verbe quatre grands Evêques, desquels on peut affirmer que leur
cause personnelle était en même temps celle du Fils de Dieu Consubstantiel : en
sorte que leur dire anathème était dire anathème au Christ lui-même ; tous
quatre puissants en œuvres et en paroles, la lumière des Eglises, l'amour du
peuple fidèle, les invincibles témoins du Christ. Le premier et le plus grand
des quatre est l'Evêque du second Siège de l'Eglise, saint Athanase, Patriarche
d'Alexandrie ; le deuxième est
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saint Ambroise de Milan, que nous avons fêté il va peu de
jours; le troisième est la gloire des Gaules, saint Hilaire, Evêque de Poitiers;
le quatrième est l'ornement de l'Italie, saint Eusèbe, Evêque de Verceil. C'est
ce dernier que nous avons à honorer aujourd'hui. Hilaire aura son tour et
confessera bientôt le Verbe éternel auprès de son berceau ; pour Athanase, il
paraîtra en son temps, et célébrera dans sa Résurrection triomphante Celui qu'il
proclama avec un courage magnanime, en ces jours de ténèbres où la sagesse
humaine eût espéré volontiers que le royaume du Christ, après avoir triomphé de
trois siècles de persécutions, ne survivrait pas à cinquante années de paix.
Saint Eusèbe a donc été élu par la souveraine Providence de Dieu pour conduire
le peuple fidèle à la Crèche, et lui révéler le Verbe divin sous les traits de
notre faible mortalité. Les souffrances qu'il a endurées pour la divinité du
Christ ont été si grandes, que l'Eglise lui a décerné les honneurs du Martyre,
quoiqu'il n'ait pas répandu son sang dans les supplices. Lisons maintenant ses
mérites dans l'admirable récit que leur a consacré la sainte Eglise :
Eusèbe, né en Sardaigne,
Lecteur de l'Eglise Romaine, puis Evêque de Verceil, fut manifestement appelé
par le jugement de Dieu à gouverner cette Eglise; car les électeurs, sans
l'avoir jamais connu, à l'exclusion de tous leurs concitoyens, le choisirent
aussitôt qu'ils l'eurent vu ; et il ne leur fallut pas plus de temps pour
l'apprécier que pour le voir. Eusèbe
fut le premier de tous les évêques d'Occident qui
établit dans son Eglise des Moines faisant les fonctions de Clercs, afin de
réunir dans les mêmes hommes le détachement des richesses et la tenue propre aux
Lévites. C'était l'époque où les impiétés ariennes envahissaient de toutes parts
l'Occident. Eusèbe les attaqua avec vigueur; et son invincible foi consola le
Pape Libère, jusqu'à lui faire supporter la vie. Ce Pontife, reconnaissant en
lui la ferveur de l'Esprit de Dieu, le chargea d'aller avec ses Légats plaider
devant l'empereur la cause de la foi. Eusèbe parvint avec eux auprès de
Constance, et à force de zèle, il en obtint tout ce qu'on se proposait dans
cette légation, savoir la célébration d'un concile.
Ce concile fut réuni à Milan
l'année suivante ; Eusèbe y fut invité par Constance ; et les Légats de Libère
désirèrent également et réclamèrent sa présence. Bien loin de céder aux trames
de la synagogue arienne et de se rendre complice de ses fureurs contre saint
Athanase, dès l'abord il déclara hautement que plusieurs des membres du concile
lui étaient connus pour hérétiques, et proposa de leur faire
souscrire la Foi de Nicée, avant de passer outre. Les Ariens furieux s'y étant
refusés, il refusa pareillement de souscrire contre saint Athanase, et même il
parvint à dégager avec adresse la simplicité de saint Denys le Martyr , qui ,
trompé par les hérétiques, avait souscrit cette condamnation. C'est pourquoi les
Ariens, vivement irrités contre Eusèbe, après un grand nombre de mauvais
traitements, le firent condamner à l'exil; mais le saint Evêque, secouant la
poussière de ses pieds, sans craindre ni les menaces de César, ni le tranchant
du glaive, accepta l'exil comme une fonction de son ministère. Envoyé à Scythopolis, il y souffrit la faim, la soif, les coups et
divers supplices, dédaigna courageusement sa propre vie pour la foi, brava la
mort, et livra son corps aux bourreaux..
Quelle fut
envers lui la cruauté et l'insolence effrénée des Ariens, c'est ce que font voir
les lettres importantes, pleines de force, de piété et de religion, qu'il
écrivit de Scythopolis au clergé et au peuple de
Verceil, et à quelques personnes du voisinage. On y voit encore que les
hérétiques ne purent jamais ni l'abattre par les menaces et les traitements
barbares, ni l'attirer à leur parti au moyen de leurs séduisantes et
fallacieuses subtilités. Déporté ensuite
en Cappadoce, et enfin dans la Thébaïde de la haute Egypte, en punition de sa
fermeté, il supporta les rigueurs de l'exil jusqu'à la mort de Constance. Il lui fut alors permis de retourner à son
troupeau; mais il ne voulut partir qu'après avoir assisté au concile assemblé à Alexandrie pour réparer les pertes
de la foi. Il parcourut ensuite les provinces de l'Orient pour rendre à une santé parfaite, comme un
habile médecin, ceux qui étaient infirmes dans la foi, les instruisant dans la
doctrine de l'Eglise. Poursuivant cette mission salutaire, il passa en Illyrie,
et repassa enfin dans l'Italie qui, a son retour, dépouilla ses vêtements de
deuil. Ce fut là qu'il publia, après les
avoir expurgés, les commentaires d'Origène et d'Eusèbe de Césarée sur les
Psaumes, qu'il avait traduits du grec en latin. Enfin, illustré par tant
d'actions excellentes, il mourut à Verceil, sous Valentinien et Valens, et alla recevoir l'inflétrissable couronne de gloire que tant de tribulations
lui avaient acquise.
Athlète invincible du Christ que
nous attendons, Eusèbe, Martyr et Pontife, que vos fatigues
53o
et vos souffrances pour la cause de
ce divin Messie ont été grandes ! Elles vous ont cependant paru légères, en
comparaison de ce qui est dû à ce Verbe éternel du Père, que son amour a porté à
devenir, par l'Incarnation,le serviteur de sa créature. Nous avons, envers ce
divin Sauveur, les mêmes obligations que vous. C'est pour nous qu'il va naître
d'une Vierge aussi bien que pour vous ; priez donc, afin que notre cœur lui soit
toujours fidèle dans la guerre comme dans la paix, en face de nos tentations et
de nos penchants, comme s'il s'agissait de le confesser devant les puissances du
monde. Fortifiez les Pontifes de la sainte Eglise, afin que nulle erreur ne
puisse tromper leur vigilance, nulle persécution lasser
leur courage. Qu'ils soient fidèles imitateurs du souverain Pasteur qui donne sa
vie pour ses brebis, et qu'ils paissent toujours le troupeau dans l'unité et la
charité de Jésus-Christ.
Considérons la très pure Marie de
retour dans sa maison de Nazareth, et se réjouissant de sentir vivre en elle
Celui qui donne la vie à toute créature, et dont l'amour inonde toujours son
cœur. Joseph, le fidèle gardien de sa virginité, met toutes ses complaisances,
après Dieu, dans celle qui lui a été donnée pour épouse, et bénit le Seigneur
pour un si riche présent. Les saints Anges se pressent dans cette heureuse
maison qu'habitent leur souverain Seigneur et celle qu'il a choisie pour Mère.
Rien n'égale la félicité d'un tel séjour: toutefois, le Seigneur a résolu de le
visiter par la tribulation, afin d'y faire briller d'un nouveau lustre la
patience de celle qu'il a glorifiée par-dessus toutes les femmes, et
l'admirable
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discrétion de son saint époux. Nous
placerons ici un dernier fragment des Méditations de saint Bonaventure,
dans lequel le Séraphique auteur nous initie, avec sa lumière ordinaire, à toute
la plénitude du récit évangélique :
« Or, comme Notre-Dame et le sien
époux Joseph habitaient par ensemble, à même temps que Jésus croissait dans le
sein de sa mère, ledit Joseph se vint à considérer qu'elle était en-ce ceinte,
dont il se chagrina outre mesure. Prêtes-y bien de l'attention, d'autant que tu
y a pourras apprendre maintes belles choses. Si tu
doutes pourquoi Notre-Seigneur a voulu que sa mère eût un homme, pour bien qu'il
la voulût toujours être vierge ; à cela l'on te répond, pour trois causes,
savoir : Premièrement, de peur qu'étant enceinte, elle ne fût diffamée ;
deuxièmement, afin qu'elle jouît du service et de la société d'un homme ;
tiercement, à celle fin que l'enfantement du Fils de Dieu fût caché au
diable.
« Joseph donc, considérant à une
et plusieurs ce fois sa conjoincte, il se chagrinait
et était troublé ; partant, il lui montrait un visage troublé, et détournait les
yeux d'elle, comme d'une méchante, la soupçonnant d'avoir conçu par adultère. Tu
vois comme Dieu permet que les siens soient vexés par les tribulations, et
toutes pour ce leur couronne. Or, il cuidait la
congédier en secret. Véritablement, l'on peut dire d'icelui ce que sa louange
est en l'Evangile, d'autant qu'il y est dit qu'il était homme juste: et
par le fait, il était d'une grande vertu. Car, nonobstant a que l'on dise
communément que l'adultère de l'épouse est pour son homme quasi le comble de la
vergogne, douleur et fureur, néanmoins
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il se modérait, et ne voulait pas
accuser icelle. Il passait patiemment par-dessus cette grande injure, ne se
vengeant point ; voire même, voulant céder, vaincu qu'il était par sa piété
conjugale, il la voulait renvoyer sous main. Notre-Dame, pour sa part, ne passa
pas outre sans tribulation, d'autant qu'elle considérait et voyait troublé
icelui dont elle était quant et quant émoyée. Ce
néanmoins, elle gardait humble silence et cachait le don de Dieu. Elle aimait o
mieux être réputée vile, que de dévoiler les mystères de Dieu même, et dire de
soi la moindre chose qui eût l'air d'appartenir à jactance. Si est-ce qu'elle
priait le Seigneur, qu'il daignât par lui-même apporter remède, et ôter de
dessus elle et son mari la présente tribulation. Tu vois comme preignante tribulation et angoisse leur était ; mais le
Seigneur prit soin de ces deux saintes
gens.
« Adoncques, il dépêcha son Ange,
qui dit à Joseph en songe, que la sienne épouse d'icelui avait conçu de l'Esprit-Saint, et qu'il eût à demeurer en toute confiance et
liesse avec icelle. Par quoi, la tribulation cessant, une grande consolation
s'en revint les éjouir. Mêmement nous échéerait-il à nous-mêmes, si en nos tribulations nous
savions prendre patience ; vu que Dieu après la tempête ramène le calme.
D'abondant, tu ne dois pas douter que jamais oncques il ne permet à icelle de
s'en venir frapper les siens, sinon pour leur utilité. Or est-il que Joseph
s'enquit des merveilles de ladite Conception, lesquelles Notre-Dame lui raconta
de point en point. Joseph reste donc et demeure, bien content qu'il est, avec sa conjoincte bénie.
Davantage il la chérit, par delà tout ce qu'on
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pourrait dire, d'un chaste amour, et
prend fidèlement soin d'icelle. Notre-Dame, pour sa part, demeure confidemment
avec lui; bref, ils vivent gaiement en leur pauvreté. »
PRIÈRE POUR LE TEMPS DE L'AVENT.
(Bréviaire Mozarabe, Mercredi de la Ière Semaine de l'Avent, Capitula.)
O Dieu ! dont la terre tout entière fait entendre les louanges avec
jubilation; dont les Psaumes proclament la gloire avec mélodie, et confessent la
redoutable puissance : manifestez à nos yeux le Sauveur que vous nous préparez.
Révélez votre justice, afin que nous puissions vous reconnaître pour notre
créateur, et souvenez-vous de votre miséricorde qui peut nous faire mériter la
rémission de nos crimes. Alors, voyant Celui qui est notre Sauveur, nous vous
chanterons une hymne d'allégresse ; dans notre joie, nous ferons résonner le
Psaume, et nous deviendrons dignes de jouir de la récompense que l'on goûte au
sein de votre béatitude. Amen.
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